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Par martineB le 15 Novembre 2009 à 19:20
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Ecce quam sit 1, 2, 3
Elle fréquentait la rue Pigalle 1 , 2 + ou - Page(s) 26,52
ECCE QUAM SIT (Folke Bohlin)
Etché couam sit tibidoulché roubèn sosCouam sint tibican dida louminatou a
Voxtoua doulchiss labiatou assount molia
O méa luxé corcouloum
Fac méssoloum tibi fiérisponsoum
Voxtoua doulchiss labiatou assount molia
Véni in ortouloum
Loutchi ni aEL PESCADORVoir éventuellement :
http://cokemp3.org/v/AWKhiV4SQIc/El-pescador---La-Nueva-Luna
Va subiendo la corriente
Con chinchorro y atarraya
La canoa de bareque
Para llegar a la playa
(bis)
La luna espera sonriente
Con su mágico esplendor
La llegada del valiente
Y del alegre pescador
(bis)
El pescador, habla con la luna
El pescador, habla con la playa
El pescador, no tiene fortuna
Sólo su atarraya
(bis)
Regresan los pescadores
Con su carga pa' vender
Al puerto de sus amores
Donde tiene su querer
(bis)
Y esta cumbia que se llama
"el alegre pescador"
La compuse una mañana
Una mañana de sol(bis)
El pescador, habla con la luna
El pescador, habla con la playa
El pescador, no tiene fortuna
Sólo su atarraya
(bis)ELLE FREQUENTAIT LA RUE PIGALLE (Edith Piaf)Elle fréquentait la rue Pigalle
Elle sentait le vice à bon marché
Elle était toute noire de péchés
Avec un pauvre visage tout pâle
Pourtant y’avait dans le fond de ses yeux
Comme quelque chose de miraculeux
Qui semblait mettre un peu de ciel bleu
Dans celui tout sale de Pigalle.
Il lui avait dit: “Vous êtes belle.”
Et d’habitude, dans ce quartier-là,
On dit jamais les choses comme ça
Aux filles qui font le même métier qu’elle;
Et comme elle voulait se confesser,
Il la couvrait toute de baisers,
En lui disant: “Laisse ton passé,
Moi, je vois qu’une chose, c’est que tu es belle.”
Y’a des images qui vous tracassent;
Et quand elle sortait avec lui,
Depuis Barbès jusqu’à Clichy
Son passé lui faisait la grimace.
Et sur les trottoirs plein de souvenirs,
Elle voyait son amour se flétrir,
Alors, elle lui de manda de partir,
Et il l’emmena vers Montparnasse.
Elle croyait recommencer sa vie,
Mais c’est lui qui se mit à changer,
Il la regardait tout étonné,
Disant: “Je te croyais plus jolie,
Ici, le jour t’éclaire de trop,
On voit tes vices à fleur de peau,
Vaudrait peut-être mieux que tu retournes là-haut
Et qu’on reprenne chacun sa vie.”
Elle est retournée dans son Pigalle,
Y’a plus personne pour la repêcher,
Elle a retrouvée tous ses péchés,
Ses coins d’ombre et ses trottoirs sales.
Mais quand elle voit des amoureux
Qui remontent la rue d’un air joyeux,
Y’a des larmes dans ses grands yeux bleusQui coulent le long de ses joues toutes pâles.LES ENFANTS DU PIREE
Noyés de bleu sous le ciel grec
Un bateau, deux bateaux,trois bateaux
S'en vont chantant
Griffant le ciel à coups de bec
Un oiseau, deux oiseaux, trois oiseaux
Font du beau temps
Dans les ruelles d'un coup sec
Un volet, deux volets, trois volets
Claquent au vent,
Et faisant une ronde avec
Un enfant, deux enfants, trois enfants
Dansent gaiement.
Mon dieu que j'aime,
Ce port du bout du monde
Que le soleil innonde
De ses reflets dorés
Mon dieu que j'aime,
Sous les bonnets oranges
Tous les visages d'anges
Des enfants du Pirée.
Je rêve aussi d'avoir un jour,
Un enfant, deux enfants, trois enfants
Jouant comme eux
Le long du quai flanent toujours
Un marin, deux marins, trois marins aventureux
De notre amour on se fera
Un amour, dix amours, mille amours
Noyés de bleus
Et nos enfants feront des gars
Que les filles un beau jour
A leur tour rendront heureux.
Mon dieu que j'aime,
Ce port du bout du monde
Que le soleil innonde
De ses reflets dorés
Mon dieu que j'aime,
Sous les bonnets oranges
Tous les visages d'anges
Des enfants du Pirée.
[NN: la chanson s'arrête ici dans certaines versions]
Quand on parlait de voyages
Vers de fabuleux rivages
Tu disais qu'on les feraient nous aussi,
Oui mais quand on en a eu l'âge
Moi j'ai quitté le village,
Tu m'as dit je t'attendrais toute ma vie
Mais quelques fois,
Les bateaux s'en vont si loin
Que le flot les entrainent
Mais quelques fois,
Les bateaux s'en vont si loin
Que quelques fois
Trop tard ils reviennent.
Après tant et tant d'années
Je t'ai enfin retrouvé
Devant nous le passé vient de surgir
Mais mon dieu comme c'est étrange
Oh mon dieu comme c'est étrange
Nous n'avons soudain plus rien rien à nous dire
Car quelques fois,
Les bateaux s'en vont si loin
Et le flot les entrainent
Car les bateaux quelques fois,
S'en vont si loin
Mais quelques fois
Trop tard ils reviennent
Mais quelques fois
Trop tard ils reviennent.
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