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Par martineB le 15 Novembre 2009 à 19:19
(liens avec le blog skyblog)
Cajuina 1
California dreaming + ou - Page(s) 36
Celui qui a mal tourné + ou - Page(s) 27
Champ de naviots (le)1, 2
Chanson populaire + ou - Page(s) 15
Chat (le) + ou - Page(s) 36
Che gusto 1, 2, 3
Complainte de la Butte (la) + ou - Page(s) 13
Complainte de Mackie (la) + ou - Page(s) 6
CAJUINA (G. Veloso)
Existirmos, a que será que se destina
Pois quando tu me deste a rosa pequenina
Vi que és um homem lindo e que se acaso a sina
Do menino infeliz se nos ilumina
Tampouco turva-se a lágrima nordestina
Apenas a matéria vida era tão fina
E éramos olharmos na intacta retina
Da cajuína cristalina em TeresinaPHONETIQUE
Esistimous, a qué séraqui si dechtine
Pïos couando(u) tou mi desta rôsa pèquinine
Vi qué zou nomi lindou quésséa casassine
Do mini nouine félis naon si no ziloumine
Tonmpoc(ou) tourva siala grima nordeschtine
Apena zamatèria vidéra taon fine
I éramos zoliar monozintacta rètchine
Da cajouína cristalinam TérézineCALIFORNIA DREAMING(The Mamas & The Papas)
All the leaves are brown
And the sky is grey
I've been for a walk
On a winter's day
I'd be safe and warm
If I was in L.A.
California dreaming
On such a winter's day
Stopped into a church
I passed along the way
Well, I got down on my knees
And I pretend to pray
You know the preacher
likes the cold
He knows I'm gonna stay
California dreaming
On such a winter's day
All the leaves are brown
And the sky is grey
I've been for a walk
On a winter's day
If I didn't tell her
I could leave today
California dreaming
On such a winter's day
(California dreaming)
On such a winter's day
(California dreaming)
On such a winter's dayCELUI QUI A MAL TOURNE(Georges Brassens)
Il y avait des temps et des tempsQu'je n'm'étais pas servi d'mes dents
Qu'je n'mettais pas d'vin dans mon eau
Ni de charbon dans mon fourneau
Tous les croqu'-morts, silencieux
Me dévoraient déjà des yeux
Ma dernière heure allait sonner
C'est alors que j'ai mal tourné
N'y allant pas par quatre chemins
J'estourbis en un tournemain
En un coup de bûche excessif
Un noctambule en or massif
Les chats fourrés, quand ils l'ont su
M'ont posé la patte dessus
Pour m'envoyer à la Santé
Me refaire une honnêteté
Machin, Chose, Un tel, Une telle
Tous ceux du commun des mortels
Furent d'avis que j'aurais dû
En bonn' justice être pendu
A la lanterne et sur-le-champ
Y s'voyaient déjà partageant
Ma corde, en tout bien tout honneur
En guise de porte-bonheur
Au bout d'un siècle, on m'a jeté
A la porte de la Santé
Comme je suis sentimental
Je retourne au quartier natal
Baissant le nez, rasant les murs
Mal à l'aise sur mes fémurs
M'attendant à voir les humains
Se détourner de mon chemin
Y'en a un qui m'a dit: " Salut !
Te revoir, on n'y comptait plus"
Y'en a un qui m'a demandé
Des nouvelles de ma santé
Lors, j'ai vu qu'il restait encor
Du monde et du beau mond' sur terre
Et j'ai pleuré, le cul par terre
Toutes les larmes de mon corpsCE MOYS DE MAY (C.Janequin)
CE N'EST RIEN(Julien Clerc)Ce n'est rien
Tu le sais bien le temps passe ce n'est rien
Tu sais bien
Elles s'en vont comme les bateaux et soudain
Ca revient
Pour un bateau qui s'en va et revient
II y a mille coquilles de noix sur ton chemin
Qui coulent et c'est très bienREFRAIN 1 : Et c'est comme une tourterelle
Qui s'éloigne à tire d'ailes
En emportant le duvet
Qu'était ton lit un beau matin
Et ce n'est qu'une fleur nouvelle
Et qui s'en va vers la grêle
Comme un petit radeau frêleSur l'océan.
Ce n'est rien
Tu le sais bien le temps passe ce n'est rien
Tu sais bien
Elles s'en vont comme les bateaux et soudain
Ca prévient
Comme un bateau qui revient et soudain
Il y a mille sirènes de joie sur ton chemin
Qui résonnent et c'est très bien
REFRAIN 2 : Et ce n'est qu'une tourterelle
Qui revient à tire d'ailes
En rapportant le duvet
Qu'était ton lit un beau matin
Et ce n'est qu'une fleur nouvelle
Et qui s'en va vers la grêle
Comme un petit radeau frêle
Sur l'océan.
La la la...
Ca prévient
Comme un bateau qui revient et soudain
Il y a mille sirènes de joie sur ton chemin
Qui résonnent et c'est très bienREFRAIN 2 : Et ce n'est qu'une tourterelle
Qui r'viendra à tire d'ailes
En rapportant le duvet
Qu'était son nid un beau matin
Et ce n'est qu'une fleur nouvelle
Et qui s'en va vers la grêle
Comme un petit radeau frêle
Sur l'océan.C'ETAIT BIEN (Le p'tit bal perdu / Bourvil)
C´était tout juste après la guerre,
Dans un petit bal qu´avait souffert.
Sur une piste de misère,
Y´en avait deux, à découvert.
Parmi les gravats ils dansaient
Dans ce petit bal qui s´appelait...
Qui s´appelait...
qui s´appelait...
qui s´appelait...
{Refrain:}
Non je ne me souviens plus
du nom du bal perdu.
Ce dont je me souviens
ce sont ces amoureux
Qui ne regardaient rien autour d´eux.
Y´avait tant d´insouciance
Dans leurs gestes émus,
Alors quelle importance
Le nom du bal perdu?
Non je ne me souviens plus
du nom du bal perdu.
Ce dont je me souviens
c´est qu´ils étaient heureux
Les yeux au fond des yeux.
Et c´était bien...
Et c´était bien...
Ils buvaient dans le même verre,
Toujours sans se quitter des yeux.
Ils faisaient la même prière,
D´être toujours, toujours heureux.
Parmi les gravats ils souriaient
Dans ce petit bal qui s´appelait...
Qui s´appelait...
qui s´appelait...
qui s´appelait...
{au Refrain}
Et puis quand l´accordéoniste
S´est arrêté, ils sont partis.
Le soir tombait dessus la piste,
Sur les gravats et sur ma vie.
Il était redevenu tout triste
Ce petit bal qui s´appelait,
Qui s´appelait...
qui s´appelait...
qui s´appelait...
Non je ne me souviens plus
du nom du bal perdu.
Ce dont je me souviens
ce sont ces amoureux
Qui ne regardaient rien autour d´eux.
Y´avait tant de lumière,
Avec eux dans la rue,
Alors la belle affaire
Le nom du bal perdu.
Non je ne me souviens plus
du nom du bal perdu.
Ce dont je me souviens
c´est qu´on était heureux
Les yeux au fond des yeux.
Et c´était bien...
Et c´était bien.
(LE) CHAMP DE NAVIOTS
Gérard PIERRON (texte gaston Couté)
(MUSICAL)
L'matin, quand qu'j'ai cassé
la croûte,
J'pouill' ma blous', j'prends
moun hottezieau
Et mon bezouet, et pis,
en route !
J'm'en vas, coumme un
pauv' sautezieau,
En traînant ma vieill' patt'
qui r'chigne
A forc' d'aller par monts,
par vieaux,
J'm'en vas piocher mon
quarquier d'vigne
Qu'est à couté du
champ d'naviots !
Et là-bas, tandis que
j'm'esquinte
A racler l'arbre autour
des "sâs "
Que j'su', que j'souffle,
que j'geins, que j'quinte
Pour gagner l'bout d'pain
que j'n'ai pas...
J'vois souvent passer
dans la s'maine
Des tas d'gens qui braillent
comme des vieaux ;
C'est un pauv' bougre
que l'on emmène
Pour l'entarrer dans
l'champ d'naviots.
J'en ai-t-y vu d'puis l'temps que j'pioche !
J'en ai-t-y vu d'ces entarr'ments :
J'ai vu passer c'ti du p'tit mioche
Et c'ti du vieux d'quater'vingts ans ;
J'ai vu passer c'ti d'la pauv'fille
Et c'ti des poqu's aux bourgeoisieaux,
Et c'ti des ceux d'tout' ma famille
Qui dorment à c'tt' heure dans
l'champ d'naviots !
Et tertous, l'paysan coumme el'riche,
Et l'riche tout coumme el paysan,
On les a mis à plat sous l'friche ;
C'est pus qu'du fumier à présent,
Du bon fumier qu'engraiss' ma terre
Et rend meilleurs les vins nouvieaux :
V'là c'que c'est qu'd'être propriétaire
D'une 'vigne en cont' el'champ d'naviots !
Après tout, faut pas tant que j'blague,
ça m'arriv'ra itou, tout ça :
La vie c'est un arbre qu'on élague...
Et j's'rai la branche qu'la Mort coup'ra.
J'pass'rai un beau soir calme et digne,
Tandis qu'chant'ront les p'tits moignaux...
Et quand on m'trouv'ra dans ma vigne,
On m'emport'ra dans l'champ d'naviots !
J'pass'rai un beau soir calme et digne,
Tandis qu'chant'ront les p'tits moignaux...
Et quand on m'trouv'ra dans ma vigne,
On m'emport'ra dans l'champ d'naviots !CHANSON POPULAIRE(C. François)
La pendule de l'entrée
S'est arrêtée sur midi
A ce moment très précis
Où tu m'as dit: "Je vais partir"
Et puis tu es partie
J'ai cherché le repos
J'ai vécu comme un robot
Mais aucune autre n'est venue
Remonter ma vie
Là où tu vas
Tu entendras j'en suis sûr
Dans d'autres voix qui rassurent
Mes mots d'amour
Tu te prendras
Au jeu des passions qu'on jure
Mais tu verras d'aventure
Le grand amourREFRAINÇa s'en va et ça revient
C'est fait de tout petits riens
Ça se chante et ça se danse
Et ça revient, ça se retient
Comme une chanson populaire
L'amour c'est comme un refrain
Ça vous glisse entre les mains
Ça se chante et ça se danse
Et ça revient, ça se retient
Comme une chanson populaire
Ça vous fait un coeur tout neuf
Ça vous accroche des ailes blanches dans le dos
Ça vous fait marcher sur des nuages
Et ça vous poursuit en un mot
Ça s'en va et ça revient
C'est fait de tout petits riens
Ça se chante et ça se danse
Et ça revient, ça se retient
Comme une chanson populaire
Toi et moi amoureux
Autant ne plus y penses
On s'était plus à y croire
Mais c'est déjà une vieille histoire
Ta vie n'est plus ma vie
Je promène ma souffrance
De notre chambre au salon
Je vais, je viens, je tourne en rond
Dans mon silence
Je crois entendre
Ta voix comme un murmure
Qui me disait je t'assure
Le grand amour
Sans t'y attendre viendra
Pour toi j'en suis sûr
Il guérira tes blessures
Le grand amourREFRAIN (bis)(LE) CHAT (SUR UNE POESIE DE BAUDELAIRE)(arr. de MARC, chef de choeur de la chorale)LE CHAT par notre chorale en 2011
Dans ma cervelle se promène
Ainsi qu'en son appartement,
Un beau chat, fort, doux et charmant.
Quand il miaule, on l'entend à peine,
Tant son timbre est tendre et discret ;
Mais que sa voix s'apaise ou gronde,
Elle est toujours riche et profonde.
C'est là son charme et son secret.
Cette voix, qui perle et qui filtre
Dans mon fonds le plus ténébreux,
Me remplit comme un vers nombreux
Et me réjouit comme un philtre.
Elle endort les plus cruels maux
Et contient toutes les extases ;
Pour dire les plus longues phrases,
Elle n'a pas besoin de mots.
Non, il n'est pas d'archet qui morde
Sur mon coeur, parfait instrument,
Et fasse plus royalement
Chanter sa plus vibrante corde,
Que ta voix, chat mystérieux,
Chat séraphique, chat étrange,
En qui tout est, comme en un ange,
Aussi subtil qu'harmonieux !
De sa fourrure blonde et brune
Sort un parfum si doux, qu'un soir
J'en fus embaumé, pour l'avoir
Caressée une fois, rien qu'une.
C'est l'esprit familier du lieu ;
Il juge, il préside, il inspire
Toutes choses dans son empire ;
Peut-être est-il fée, est-il dieu ?
Quand mes yeux, vers ce chat que j'aime
Tirés comme par un aimant
Se retournent docilement
Et que je regarde en moi-même
Je vois avec étonnement
Le feu de ses prunelles pâles,
Clairs fanaux, vivantes opales,
Qui me contemplent fixement.CHE GUSTO (traditionnel italien)
Che gustoè mai questo
Compare, magnare
e bever ben presto
quando fà caldo ben
Magne (e-e) mo
beve (e-e) mo
beve mo vià
che po (o-o)
ballere mo (o)
ballere mo (o)
balle re mo
Alle grisi, Compare
chiamemo
la Co(o)mma (a-a) re
che ballerà la la la
la la la la la
che balle(e)rà con noïCHE SARA (josé Feliciano)paese mio che stai sulla collina ,
disteso come un vecchio addormentanto
la noia l'abbandono il niente son la tua malattia
Paese mio,ti lascio io vado via.
Che sara,che sara,che sara,
Che sara della mia vita chi lo sa?
So far tutto e forse niente da domani si vedra
Che sara,sara,quel che sara.
Gli amici miei son quasi tutti via
e gli altri partiranno dopo me
Peccato perche stavo bene in loro compagnia
Ma tutto passa,tutto se ne va.
Che sara,che sara,che sara
Che sara della mia vita ?chi lo sa?
Con me porto la chitarra
se la notte piangero
una nenia di paese suonero
Amore mio,ti bacio sulla bocca
che fu la fonte del mio primo amor
Ti do l 'appuntamento
dove e quando non lo so
Ma so soltanto che ritornero.CHEZ FREDO
(LA) COMPLAINTE DE LA BUTTEChanson écrite par Jean Renoir pour son film
(C.Vaucaire - Mouloudji)
French Cancan sorti en 1955
(musique de Georges Van Parys)
En haut de la rue St-Vincent
Un poète et une inconnue
S'aimèrent l'espace d'un instant
Mais il ne l'a jamais revue
Cette chanson il composa
Espérant que son inconnue
Un matin d'printemps l'entendra
Quelque part au coin d'une rue
La lune trop blême
Pose un diadème
Sur tes cheveux roux
La lune trop rousse
De gloire éclabousse
Ton jupon plein d'trous
La lune trop pâle
Caresse l'opale
De tes yeux blasés
Princesse de la rue
Soit la bienvenue
Dans mon cœur blessé
Les escaliers de la butte sont durs aux miséreux
Les ailes des moulins protègent les amoureux
Petite mandigoteJe sens ta menotte
Qui cherche ma main
Je sens ta poitrine
Et ta taille fine
J'oublie mon chagrin
Je sens sur tes lèvres
Une odeur de fièvre
De gosse mal nourri
Et sous ta caresse
Je sens une ivresse
Qui m'anéantit
Les escaliers de la butte sont durs aux miséreux
Les ailes des moulins protègent les amoureux
Mais voilà qu'il flotte
La lune se trotte
La princesse aussi
Sous le ciel sans lune
Je pleure à la brune
Mon rêve évanoui
LA COMPLAINTE DE MACKIEOPERA DE QUATRE SOUS ( B. BRECHT - K. WEILL )(LA) COMPLAINTE DE MACKIE
DIE MORITAT VOM MACKIE MESSER
OPERA DE QUATRE SOUS ( B. BRECHT - K. WEILL )
Und des Haifisch, der hat ZähneUnd die trägt er im gesicht
Und Macheath, der hat ein Messer
Doch das Messer sieht man nicht.
Ach, es sind das Haifischs Flossen
Rot, wenn dieser Blut vergieBt
Mackie Messer trägt'nen Handschuh
Drauf man keine Untat liest.
An'nem schönen blauen Sonntag
Liegt ein toter Mann an Strand
Und ein Mensch geht um die Ecke
Den man Mackie Messer nennt.
( Und Schmul Meier verschwunden
Und so mancher reiche Mann
Und sein Geld hat Mackie Messer
Dem man nichts beweisen kann.
Jenny Towler ward gefunden
Mit'nem Messer in der Brust
Und am Kai geht Mackie Messer
Der von allem nichts gewuBt.
Und das grosse Feuer in Soho
Sieben Kinder und ein Greis-
In der Menge Mackie Messer, den
Man nicht fragt und der nichts weiB. )
Und die minderjährige Witwe
Deren Namen jeder weiB
Wachte auf und war geschändet-
Mackie, welches war dein Preis ?
Wachte auf und war geschändet-
Mackie, welches war dein Preis ?;;;(LA) COMPLAINTE DU PHOQUE EN ALASKA
(Beau Dommage)Cré-moé, cré-moé pas, quéqu' part en Alaska
Y a un phoque qui s'ennuie en maudit
Sa blonde est partie gagner sa vie
Dans un cirque aux Etats-Unis
Le phoque est tout seul, y r'garde le soleilQui descend doucement sur le glacier
y pense aux Etats en pleurant tout bas
C'est comme ça quand ta blonde t'a lâché
REFRAIN : Ça vaut pas la peineDe laisser ceux qu'on aime
Pour aller faire tourner
Des ballons sur son nez
Ça fait rire les enfants
Ça dure jamais longtemps
Ça fait plus rire personne
Quand les enfants sont grands
Quand le phoque s'ennuie, y r'garde son poil qui brilleComme les rues de New York après la pluie
y rêve à Chicago, à Marilyn Monroe
y voudrait voir sa blonde faire un show
♫♫♫♫♫♫♫♫
C'est rien qu'une histoire, j'peux pas m'en faire accroireMais des fois j'ai l'impression qu'c'est moé
Qu'est assis sur la glace les deux mains dans la face,
Mon amour est parti pis j'm'ennuie
REFRAIN : Ça vaut pas la peineDe laisser ceux qu'on aime
Pour aller faire tourner
Des ballons sur son nez
Ça fait rire les enfants
Ça dure jamais longtemps
Ça fait plus rire personne
Quand les enfants sont grands
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Ça vaut pas la peine
De laisser ceux qu'on aime
Pour aller faire tourner
Des ballons sur son nez...
COULD YOU BE LOVE
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